Editions Héritage
Nouveau produit
Je salue l’excellente initiative des éditions Héritage de présenter au public les contributions du docteur Taleb dans la [Revue algérienne des relations internationales]. Ces articles revêtent aujourd’hui une grande valeur documentaire, loin de tout penchant à la nostalgie.
3 Article Produits
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité:
Auteur | Ahmed Taleb Ibrahimi |
Nombre de pages : | 318 |
Format : | 14.8 x 21cm |
Langue(s) : | Français |
Type de couverture : | Souple |
ISBN : | 9782385540166 |
Année | 2024 |
« Je salue l’excellente initiative des éditions Héritage de présenter au public les contributions du docteur Taleb dans la [Revue algérienne des relations internationales]. Ces articles revêtent aujourd’hui une grande valeur documentaire, loin de tout penchant à la nostalgie. On y trouve des informations et des analyses susceptibles d’aider à la compréhension des tensions et des évolutions de la période postcoloniale et qui permettent en même temps de réfléchir sur l’état actuel du monde de plus en plus fracturé par des conflits géostratégiques.
De même que ce recueil comporte les discours du docteur Taleb aux assemblées générales de l’ONU dans ses sept sessions de 1982 à 1988 ainsi que son intervention au Conseil de sécurité. Il faut rappeler que durant cette période, l’Algérie a été élue par l’Assemblée générale, pour la deuxième fois, comme membre non permanent au Conseil de sécurité, pour le mandat 1988-1989. Les discours du docteur Taleb ont porté haut et fort la voix de l’Algérie au sein de cette instance mondiale. Avec son passé de lutte anticoloniale, l’Algérie a placé au cœur de sa politique étrangère l’impérieuse nécessité d’instaurer dans le monde et pour tous les pays un climat durable de paix, de sécurité, de progrès et de justice. Tant que ce climat n’est pas instauré, il y aura toujours des pays comme l’Algérie et des hommes comme le docteur Taleb qui en défendront l’idéal. »
Ahmed Attaf
DANS LA MÊME CATÉGORIE
Quatrième essai de Thomas Sibille préfacé par le cheikh Mohammed Karimi. L’Occident a su faire sa révolution au moment opportun, en déployant sa maîtrise de la technique et du matériel, et en réinventant, en quelque sorte, la façon de considérer le présent et le futur. Il a choisi, pour se faire, de se couper du divin en créant lui-même, d’une certaine...
Rééditions avec l'accord des ayants droits de la version complète et inédite (dans cette version) du livre l'Afro-Asiatisme de Malek Bennabi, préfacé par l'historien SadeK Sellam. * Rare photo de Malek Bennabi qui se documente sur les conférences de Colombo et de Bogor en compagnie du général Mohamed Najib en juillet 1954
cet ouvrage n’a nullement prétention à produire une analyse exhaustive de la pensée politique arabe contemporaine avec tous ses courants et ramifications mais de fournir des clefs de lecture de la scène politique arabe.
Ceci est l'analyse d'un texte qui pour la connaissance du fiqh malékite est d'une importance primoridale : La Mudawwana.
La lecture des textes d'Ismayl Urbain ici rassemblés incite à s'inspirer de la pensée de cet intellectuel musulman de France, qui recommandait inlassablement, mais en vain, une politique « islamojuste ».
Les musulmans sont particulièrement fiers du fait que la première constitution écrite d’un État promulguée dans le monde par un chef d’État émane d’une personnalité aussi importante que le Saint Prophète de l’islam صلى الله عليه وسلم même.
Série d'articles publiés dans des revues scientifiques par l'historien Mehdi Berriah, spécialiste de l'islam médiéval, traitant de sur l'art de la guerre chez les Mamelouks.
La France et le monde musulman n'ont cessé d'être liés par l'histoire comme en témoignent les deux siècles de présence musulmane en France quand les musulmans installés en Andalousie traversèrent les Pyrénées.
Les archives exposées dans ce livre ont pour finalité d’établir la vérité sur les raisons de l’expédition coloniale française en Algérie, et ce, avec une érudition dénuée de tout cliché et préjugé.
Le 11 décembre 1960, les manifestants d’Alger préféraient l’« Algérie musulmane » au projet gaullien d’« Algérie algérienne » en scandant : « Vive Ferhat Abbas ».