Ce livre écrit au IIIe siècle de l’Hégire est une compilation de hadiths et de citations d’illustres personnages et auteurs musulmans sur la notion de « parole » et de « silence ». Il vise à énumérer les règles que tout gentilhomme doit respecter dans l’usage de la parole en public comme en privé.
Michel Petit présente dans cet ouvrage un aperçu de la civilisation arabo-musulmane sur le temps long, en se concentrant sur les dix premiers siècles hégiriens au cours desquels cette région du monde a connu une prospérité exemplaire.
Dans ce livre phare d’Ibn Taymiyya, deux questions essentielles qui divisaient les théologiens de son époque sont traitées : les attributs divins et la Prédestination. Ces débats qui secouaient à l’époque les trois monothéismes, sont ici tranchés par l’auteur avec clarté.
Il s’agit d’une traduction d’une épitre du théologien musulman du Moyen-âge Ibn Taymiyya. Cette épitre est tirée de sa « Somme » (Majmu’ al-fatawa) et aborde la question du repentir et l’absolution en Islam en se basant sur les paroles prophétiques relatives à ce sujet.
Ce livre est une traduction d’un texte ancien, appartenant au patrimoine spirituel de l’islam. L’auteur énonce les principes,les règles de vie particulières ainsi que l’excellence que doit impérativement atteindre le croyant qui entreprend d’apprendre le Coran.
Ce livre est une compilation de trois textes écrits par des théologiens musulmans du Moyen-âge où ils développent tous l’idée d’ “étrangeté” en Islam. La notion d’étrangeté de la foi est un élément majeur de la spiritualité musulmane qui décrit le dévot comme étranger au monde matériel auquel il préfère l’au-delà et étranger au monde social où son degré...
Dans ce traité court et lumineux, le cheikh Ibn Taymiyya chercher à définir le nom divin “l’Absolu” (Al-Qayyoum) mentionné plusieurs fois dans le Coran et qui est décrit dans les hadiths comme étant le « plus grand nom divin ».
Ce petit opuscule se donne pour tâche dinterpréter un passage mystérieux mais néanmoins fondamental de la sourate 2 du Coran où Adam est appelé « Calife sur Terre » : (Lorsque Ton Seigneur dit aux anges : « Jétablirai sur la Terre un Calife »)
La Zakât, expression de la charité et de la solidarité, est une obligation religieuse qui consiste à reverser une partie de ses biens épargnés annuellement, en faveur des déshérités.
La zakât devrait être comprise comme le droit des pauvres, des démunis et de la société sur les biens des nantis. Elle procède d’une véritable vision sociétale.
Il est un point du dogme musulman, reconnu par l'ensemble des courants de l'Islam et qui soulève pourtant des interrogations aussi bien chez les Chrétiens que chez les Musulmans : il s'agit du retour de Jésus à la fin des temps dans des conditions miraculeuses et du combat qu'il mènera contre l'Antéchrist.
Un chapitre sur les bénédictions du mois béni du ramadan et de ses grandeurs introduit le livre. La spiritualité du jeûne est ensuite développée en 4 paliers (s’éloigner de l’illicite, l’éthique nécessaire, ce qui accompagne le jeûne, la piété/proximité de Dieu). Le livre s’achève avec l’étude des finalités du jeûne.