Les musulmans sont particulièrement fiers du fait que la première constitution écrite d’un État promulguée dans le monde par un chef d’État émane d’une personnalité aussi importante que le Saint Prophète de l’islam صلى الله عليه وسلم même.
De la même manière que les concepts occidentaux se sont avérés, en grande partie, trompeurs lorsqu’ils ont été appliqués à la compréhension de situations non occidentales, il apparaît désormais évident que l’étude d’une région musulmane du point de vue du cadre conceptuel d’une autre région musulmane peut s’avérer tout aussi trompeuse.
Les archives exposées dans ce livre ont pour finalité d’établir la vérité sur les raisons de l’expédition coloniale française en Algérie, et ce, avec une érudition dénuée de tout cliché et préjugé.
En 921, le calife abbasside envoie une ambassade au roi des Bulgares de la Volga, qui vient de se convertir à l'islam. Parmi les membres de cette délégation figure Ahmad ibn Fadlan.
Ce livre — Rappel à l’intelligent, avis à l’indifférent — contient une préface et quatre chapitres. La préface a pour but d’inciter les hommes à se rendre compte des choses par l’examen et de blâmer ceux qui acquiescent aux opinions toutes faites.
Cet ouvrage traite de la civilisation arabo-musulmane du Ier au Xe siècle de l’Hégire (VIIe au XVIIe siècle de l’ère commune). Celle-ci est intrinsèquement liée à l’avènement de l’islam et à son expansion.
« (.) les causes historiques découlent dans leur globalité de notre comportement et émanent de nous-mêmes et de nos attitudes à l'égard des choses...»
Amar Ouzegane, originaire de Kabylie, est né en 1910 à Alger dans une famille pauvre. Il fait partie des rares Algériens qui auront accès à l’école coloniale.
Lors de sa publication en 1925, Éloge de l’Islam aura un énorme retentissement. En effet, au tout début du XXe siècle, à une époque où l’ensemble des pays musulmans était sous domination colonial, il était rare de voir publier des ouvrages traitant de l’Islam avec autant de lucidité et de discernement.
« Contemporain et disciple d’Ibn Taymiyya, [Ibn Kathîr] rapporte sur ce dernier des souvenirs personnels, auxquels il n’a pas manqué d’ajouter ceux de son propre beau-père, Jamâl al-Dîn al-Mizzî, qui entretenait avec le théologien hanbalite les relations d’amitié que l’on sait.
La publication de la Bidâya, sous le patronage de l’ancien souverain d’Arabie saoudite, ‘Abd al-‘Azîz Ibn Sa‘ûd — qui fut, pour les lettres arabes, un mécène généreux — ne saurait manquer d’attirer l’attention sur l’auteur de cette grande œuvre historique, le jurisconsulte et traditionniste chaféite Ismâ‘îl Ibn Kathîr (m. 774/1373).
« Dinet n’était pas un simple musulman ; il était un musulman au-dessus de beaucoup d’autres musulmans. Il ne trichait ni avec Dieu ni avec les hommes. Il était musulman, car il respectait les autres.